A.E.S.F. à Lyon

AESF, entreprise d’études de sol près de Lyon

Découvrez la foire aux questions de la société d’études géologiques AESF près de Lyon

Questions générales

En tant qu’acheteur d’un terrain :
Une étude de sol qu’elle soit géotechnique, d’assainissement ou de traitement des eaux pluviales, permet d’identifier, de prévenir ou de limiter les risques liés à la géologie, à l’environnement ou à la météorologie, tout en adaptant et optimisant le projet au terrain sur lequel elle est réalisée.
En tant que vendeur d’un terrain :
Une étude de sol permet de dresser un modèle géologique du terrain pour transmettre à l’acheteur un premier diagnostic facilitant la vente.

Les études géotechniques sont aux nombres de cinq : (G1, G2, G3, G4, G5) comportant chacune des subdivisions suivant l’avancée de votre projet (voir échelle de temps d’avancement de votre projet).
Une étude géotechnique permet de dresser un modèle géologique du terrain et de définir les risques géologiques. Elle fournit en outre le type de fondation et leur profondeur d’ancrage, le type de dallage (terre-plein, porté), des prescriptions sur des ouvrages géotechniques spécifiques tels que mur de soutènement, voirie, substitution, etc. Elles permettent aussi de suivre des travaux ou de diagnostiquer un sinistre, de le comprendre, de proposer des adaptations ou des optimisations au projet ou à l’existant.

Une étude d’assainissement permet de traiter les eaux usées via un ouvrage d’infiltration ou non. Plusieurs filières sont possibles, ils existent donc toujours une solution au projet.

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C’est un plan de prévention des risques contre les inondations.
Il définit les zones à risques d’inondation, les débits de fuite et les périodes de retour des pluies à prendre en considération pour le traitement des eaux pluviales.

Une étude de gestion des eaux pluviales permet de définir le volume d’eaux pluviales issues de l’imperméabilisation partielle ou totale d’un site à stocker via un ouvrage de rétention ou d’infiltration sur la parcelle tout en respectant la réglementation locale en vigueur.

Oui car même si votre terrain n’est pas inondable, le volume d’eau pluviale à stocker et calculé au cours de l’étude sera redistribué au réseau ou au terrain avec un débit de fuite limité, évitant ainsi les inondations en aval et donc des zones rouges ou bleues du PPRI déjà fortement impacté par l’urbanisation.

C’est une assurance qui permet de couvrir les sinistres liés à la construction. Certains assureurs exigent une étude de sol pour couvrir les risques liés à la géologie.

Questions administratives

Tout d’abord déterminez l’avancement de votre projet. En fonction du stade d’avancement de votre projet, déterminez le type d’étude nécessaire (voir échelle de temps d’avancement de votre projet). Cliquez sur l’étude en question et cliquez sur « Demander un devis », puis suivre les instructions du formulaire.
Non, car la topographie peut être différente et il peut y avoir des variations géologiques importantes d’un terrain à l’autre (faille, présence d’une nappe, d’une source, de remblais, de galeries minières, de karsts, changement de formation géologique, etc.). La nature et la qualité même des matériaux en place sur votre projet peuvent varier aussi bien d’un sondage à l’autre que d’un terrain à l’autre. De plus, les projets eux-mêmes sont différents (sous-sol, R+1) et les dispositions constructives liés au projet et donc à la géologie seront différentes.
Afin de connaître les caractéristiques mécaniques d’un terrain et donc de savoir si le terrain est porteur ou non, il est nécessaire de réaliser une étude de sol type géotechnique (G1 PGC / G2 AVP ou a minima G1 ES en cas d’absence de projet) qui définira l’horizon géologique porteur, le type de fondation et la profondeur d’ancrage.
Dans le cas des études d’assainissement : Celles-ci peuvent être obligatoirement demandées par le syndicat des eaux dont votre projet relève. Il vous sera toujours demandé de traiter les eaux usées par infiltration sur votre parcelle si possible afin de ne pas surcharger le réseau EU (Eaux usées) de la commune. Dans le cas où l’infiltration n’est pas possible, elle permet au syndicat de connaitre la quantité d’eau qu’il devra traiter au sein du réseau. Cette étude permet également de savoir si le projet est sanitairement viable. Dans le cas des eaux pluviales : Elle permet d’obtenir l’attestation PCMI 14 délivrable uniquement par l’architecte ou le bureau d’étude spécialisé en étude de sol. Elle est donc obligatoire en cas de PPRI ou si le règlement du Plan Local d’Urbanisme (PLU) l’exige. Elle permet aux communes d’éviter la saturation des réseaux d’eaux pluviales présents sur les communes et de limiter les risques d’inondation. Dans le cas des études géotechniques : Elle est obligatoire dans certains contrats d’assurance dommage-ouvrage et elle tend à le devenir suite aux différents sinistres liés à la sécheresse de 2003 ou aux divers glissements de terrains. Dans tous les cas, elle est fortement conseillée pour éviter les dommages sur le projet liés aux risques géologiques. Questions techniques
Le meilleur moyen de protéger son projet d’un risque géologique pouvant provoquer un sinistre est de définir au mieux la géologie du site à l’aide d’une étude de sol.
Ce qui peut sembler être un surcoût à première vue pour le budget d’un projet, se révèle en réalité un coût utile pour budgétiser correctement le prix réel d’une villa en optimisant les coûts sur les fondations du projet. En effet, les plus-values sont ainsi mises à jour avant le début du projet, ce qui vous évite un surendettement non prévu au départ durant la réalisation de votre projet. L’étude de sol peut aussi vous dégager de vos responsabilités au cours d’un compromis de vente en cas d’aléa géologique trop important grévant votre budget de départ. Il est préférable de payer le coût d’une étude de sol (généralement inférieure à 1500 euros) que de s’endetter à vie pour un terrain sur lequel vous ne pourrez jamais bâtir.

Pour déterminer le coût d’une étude de sol, il est nécessaire de connaître au mieux votre projet pour définir le programme géotechnique le plus adapté à la géologie du site de votre projet. Cliquez ici pour demander un devis.

Dans ce cas, il est nécessaire de réaliser une étude de gestion des eaux pluviales auprès d’un cabinet spécialisé en étude hydrogéologique.Cliquez ici pour demander un devis.
En fonction du stade d’avancement de votre projet, déterminez le type d’étude nécessaire. (voir échelle de temps d’avancement de votre projet).
Que ce soit le propriétaire du terrain, l’acquéreur, le constructeur ou le géotechnicien, leur première évaluation concernant un terrain n’est autre que la surface et son environnement. À ce stade, aucune supposition sur le sous-sol ne peut être garantie même si elle peut être estimée. Seule l’étude géotechnique garantit la profondeur et le type de fondation à adopter et donc le budget économique définitif du projet. Toutefois, de par leur expérience certains constructeurs estiment pouvoir se passer d’étude de sol. Si le constructeur se base uniquement sur son estimation, les risques encourus sont : des plus-values plus ou moins importantes peuvent alors être tarifées au devis de base du constructeur suite à la découverte d’un aléa géologique non repéré ou non repérable en surface. De plus des risques réels de désordre sur la maison peuvent apparaitre. Autrement dit, le constructeur ne peut pas vous garantir le type de fondation et leur profondeur sans étude géotechnique.
Dans ce cas, il est nécessaire de réaliser une étude d’assainissement auprès d’un cabinet spécialisé en étude hydrogéologique.Cliquez ici pour demander un devis.
Oui si dans le contrat elle a été préalablement demandée ou si le risque n’est pas couvert pas le contrat.
Non, car la topographie peut être différente et il peut y avoir des variations géologiques importantes d’un terrain à l’autre (faille, présence d’une nappe, d’une source, de remblais, de galeries minières, de karsts, changement de formation géologique, etc.). La nature et la qualité même des matériaux en place sur votre projet peuvent varier aussi bien d’un sondage à l’autre que d’un terrain à l’autre. De plus, les projets eux-mêmes sont différents (sous-sol, R+1) et les dispositions constructives liés au projet et donc à la géologie seront différentes.
La loi sur l’eau concerne tous les projets dont la superficie totale excède plus de 10000 m². Elle permet de définir les risques d’inondation liés au projet et à la gestion des eaux pluviales. Elle définit les conséquences du projet sur l’environnement et les mesures compensatoires à réaliser. Elle peut aussi concerner les digues et barrages construit pour l’élaboration de plans d’eau. Elle concerne également les modifications de lit de rivière au cours de la réalisation d’un projet.
Il est nécessaire de réaliser un diagnostic géotechnique de type mission G5 (pour plus d’informations voir échelle de temps d’avancement du projet).
Pour toute demande d’étude, merci de vous référer au formulaire.
Vérification des réseaux enterrés existant, demande d’autorisation d’intervenir sur le site de la part du propriétaire, faciliter d’accès au site par l’ouverture des portails ou barrières. En cas de projet défini, implanter le projet sur site pour une meilleure coordination entre la réalisation de nos sondages et les travaux à suivre. En cas de friche, permettre l’accès à nos engins à l’aide d’un débroussaillage intensif. En cas d’accès difficile merci de nous contacter par téléphone (04/26/01/72/49).
Délai d’intervention moyen chez AESF Lyon : 4 jours à dater de la réception de la commande Délai de remise de rapport maximum chez AESF Lyon: 1 semaine à partir de la date d’intervention
La plupart des sondages ne dépassent pas les 100 mm de diamètre. L’endommagement du site est donc minimum. Seuls les sondages à la pelle peuvent entraîner des dommages sur 1 mètre carré de surface et sur une profondeur de 5 mètres. Toutefois, ces sondages sont rebouchés sans réfection à l’identique. Chez AESF Lyon, toutes les précautions sont prises pour éviter tout dommage au terrain et aux infrastructures existantes.
Il faut rappeler l’article R 431-16 du code de l’urbanisme : e) Lorsque la construction projetée est subordonnée par un plan de prévention des risques naturels prévisibles ou un plan de prévention des risques miniers approuvés, ou rendus immédiatement opposables en application de l’article L. 562-2 du code de l’environnement, ou par un plan de prévention des risques technologiques approuvé, à la réalisation d’une étude préalable permettant d’en déterminer les conditions de réalisation, d’utilisation ou d’exploitation, une attestation établie par l’architecte du projet ou par un expert certifiant la réalisation de cette étude et constatant que le projet prend en compte ces conditions au stade de la conception ; L’attestation délivrée par l’architecte ou le cabinet d’expert fait suite à la réalisation d’une étude sur une problématique géologique ou environnementale particulière et constitue la pièce PCMI 14 demandée dans le dossier de permis de construire.
Il faut rappeler l’article R 431-16 du code de l’urbanisme : e) Lorsque la construction projetée est subordonnée par un plan de prévention des risques naturels prévisibles ou un plan de prévention des risques miniers approuvés, ou rendus immédiatement opposables en application de l’article L. 562-2 du code de l’environnement, ou par un plan de prévention des risques technologiques approuvé, à la réalisation d’une étude préalable permettant d’en déterminer les conditions de réalisation, d’utilisation ou d’exploitation, une attestation établie par l’architecte du projet ou par un expert certifiant la réalisation de cette étude et constatant que le projet prend en compte ces conditions au stade de la conception ; L’attestation délivrée par l’architecte ou le cabinet d’expert fait suite à la réalisation d’une étude sur une problématique géologique ou environnementale particulière et constitue la pièce PCMI 14 demandée dans le dossier de permis de construire.

Questions techniques

Un sondage au tractopelle permet de dresser la coupe lithologique du terrain, de vérifier la présence ou non d’eau, de remblais, de déterminer les caractéristiques et le type de fondation des avoisinants. Les sondages au tractopelle peuvent atteindre une profondeur de 5 mètres.
Un sondage à la tarière permet de dresser la coupe pédologique d’un terrain, de vérifier la présence ou non d’eau, de remblais. Ces sondages peuvent atteindre une profondeur d’1 mètre 10.
Les sondages au pénétromètre dynamique sont réalisés par battage (masse de 64 kg avec hauteur de chute de 75cm). Ils permettent de déterminer la résistance dynamique du terrain et de définir la contrainte admissible de celui-ci. C’est-à-dire le taux de travail du sol en fonction de la profondeur. Ils ont une profondeur moyenne de 4 à 6m ou plus suivant les projets.
Un sondage destructif est un sondage à grande profondeur réalisé en général en une seule fois ou en plusieurs fois à l’aide d’un tubage à avancement. Une fois le sondage réalisé, une sonde est descendue dans le sondage à des profondeurs successives espacées de 1 mètre 50. Cette sonde permet la réalisation d’essais pressiométriques ; ces derniers nous donne les caractéristiques mécaniques du terrain et notamment le module d’Young permettant le calcul des tassements.
Un essai à la plaque est en général réalisé après constitution d’une plate-forme ou d’une substitution pour contrôler si celle-ci est suffisamment compactée ou non.
Un test de perméabilité permet de connaître le coefficient de perméabilité d’un terrain et donc sa capacité d’infiltration.
La nature et le type des fondations dépendent fortement du sous-sol géologique sur lequel elles sont construites. Il est donc nécessaire de connaître la nature et les caractéristiques mécaniques du sous-sol pour répondre de façon sérieuse à cette question. Nous vous invitons à réaliser une étude géotechnique en fonction de l’avancement de votre projet (voir échelle de temps d’avancement du projet).
Les argiles gonflantes ont la propriété de changer de volume en fonction de leur teneur en eau. Elles gonflent en période d’humidité et se rétractent en période de sécheresse. Ces variations de volume engendrent des désordres sur les bâtiments et infrastructures.
Il est nécessaire de vérifier les fondations de cet avoisinant ou mitoyen afin de ne pas créer de désordre sur celui-ci au cours de la construction de mon projet. Nous vous invitons à réaliser une étude géotechnique de type G1 ES, G1 PGC ou G2 AVP en fonction de l’avancement de votre projet (voir échelle de temps d’avancement du projet).
Un dallage terre-plein comme son nom l’indique repose sur une couche de forme préalablement compactée. Il est dissocié des fondations. La totalité de son poids et donc son dimensionnement repose sur les capacités portantes du terrain. Un dallage porté quant à lui repose sur les fondations. Il est accompagné d’un vide sanitaire. Son poids et son dimensionnement repose sur les capacités portantes des fondations. Il est donc directement lié à celles-ci.
Le choix dépend surtout de la qualité des terrains sur lequel reposera le dallage, de la pente topographique du terrain, des arrivées d’eau potentielles et des aléas géologiques connus. Si la pente est importante, un vide sanitaire et donc un dallage porté est nécessaire. De même, si un aléa géologique connu est présent sur le site, il est préférable, pour éviter les désordres, de réaliser un dallage porté. Si la qualité des horizons géologiques supérieurs est trop faible, il est également conseillé de réaliser un dallage porté. Enfin, en cas d’arrivée d’eau, il est préférable de la laisser circuler librement dans un vide sanitaire et donc via un dallage porté. Pour résumer, les dallages sur terre-plein nécessitent un sol de qualité correcte, sans aléa géologique, de préférence sur un terrain plat où les arrivées d’eau sont faibles pour éviter tout désordre et notamment tout tassement différentiel provoquant des fissures sur le dallage lui-même.
Si une nappe ou si des arrivées d’eau sont présentes sur le site, il est nécessaire de cuveler le sous-sol afin d’éviter les infiltrations d’eau au sein de celui-ci.
Une étude de stabilité de terrain via un logiciel de type TALRAN, GEOSTAB, PLAXIS, RIDO permet de calculer les loupes de glissement potentielles ainsi que les phasages des terrassements pour éviter tout désordre lors de la réalisation de ces terrassements.
Seule l’étude géotechnique garantit la profondeur et le type de fondation à adopter et donc le budget économique définitif du projet. Nous pouvons vous accompagner sur la détermination des profondeurs à prendre en compte.
Le volume de rétention nécessaire au stockage des eaux pluviales se calcule à partir de plusieurs paramètres météorologique, environnemental et architectural. En ce qui concerne les données météorologiques, elles sont généralement stipulées par la législation locale. Il s’agit du débit de fuite autorisé et de la période de retour de la pluie (décennale, vingtennale, trentennale ou centennale). Elles sont généralement inscrites dans le PLU de la commune ou dans le PPRI affectant la commune. En ce qui concerne les données environnementales, il s’agit du coefficient de perméabilité de votre terrain et de la surface réelle disponible pour la réalisation d’un ouvrage d’infiltration (en prenant en compte les limites de propriété et de constructibilité) que vous voudrez bien affecter à la gestion des eaux pluviales de votre projet. En ce qui concerne les données architecturales, elle concerne la surface de terrain que vous allez imperméabiliser à la suite de votre projet. Par conséquent, il est préférable dès le stade d’avant-projet, de choisir des solutions alternatives pour ne pas totalement imperméabiliser le terrain, on parle alors de surfaces semi-imperméabilisées tels que les toitures végétalisées, les voiries gravillonnées, les chaussées réservoirs, etc. Minimiser les coûts de gestion des eaux pluviales commence donc par bien évaluer les espaces verts que l’on souhaite conserver sur son terrain. Il faut toujours garder en mémoire que plus on s’approche de l’état actuel du terrain, plus le volume de stockage des eaux pluviales sera faible.
Pour cela, il est nécessaire de réaliser des tests de perméabilité à niveau constant à l’aide d’un infiltromètre ou à niveau variable suite au remplissage d’une tranchée réalisée préalablement par un sondage au tractopelle. Les résultats de ces tests consistent en l’obtention d’une vitesse d’infiltration appelée coefficient de perméabilité et noté en mètre seconde. Pour obtenir le débit d’infiltration, il suffit de multiplier la surface disponible par le coefficient de perméabilité.
Il existe plusieurs approches, l’approche historique, géomorphologique et géophysique. L’approche historique vise à consulter les archives se rapportant au terrain de votre projet (Atlas historique minier, Cartes Napoléonienne, cartes de Cassini, photographies aériennes, photographies d’époque, etc.) L’approche géomorphologique consiste à observer les anomalies topographiques sur votre terrain (affaissement, dolines, etc.) L’approche géophysique consiste à effectuer des mesures sismiques, électromagnétiques, gravimétriques, géoradar, de résistivité de votre terrain. Ces différentes mesures peuvent révéler des anomalies en profondeur correspondant à la galerie supposée.
Pour dimensionner un mur de soutènement il est nécessaire de connaitre plusieurs paramètres : + Les qualités géomécaniques des horizons géologiques soutenus par le mur. + Les qualités géomécaniques des horizons géologiques servant d’assise au mur. + La hauteur du mur + Le type de mur souhaité (mur-poids, mur clouté, mur de soutènement gabions, paroi berlinoise, etc.) Il est donc nécessaire de réaliser une étude de sol pour connaître les paramètres du sol et en fonction du mur choisi et de sa hauteur, pouvoir dimensionner son épaisseur afin de lui conférer une résistance au cisaillement, au basculement et aux grands glissements.
Il faut vous adresser à un bureau d’étude spécialisé en pédologie, géologie, hydrogéologie, géomorphologie ; autrement dit à un cabinet d’études géologiques tel que AESF Lyon.
Pour dimensionner un mur de soutènement il est nécessaire de connaitre plusieurs paramètres : + Les qualités géomécaniques des horizons géologiques soutenus par le mur. + Les qualités géomécaniques des horizons géologiques servant d’assise au mur. + La hauteur du mur + Le type de mur souhaité (mur-poids, mur clouté, mur de soutènement gabions, paroi berlinoise, etc.) Il est donc nécessaire de réaliser une étude de sol pour connaître les paramètres du sol et en fonction du mur choisi et de sa hauteur, pouvoir dimensionner son épaisseur afin de lui conférer une résistance au cisaillement, au basculement et aux grands glissements.
Un radier est une fondation spéciale constituée d’une substitution du terrain en place par des matériaux présentant des qualités mécaniques élevées surmontés d’une dalle d’une épaisseur plus importante qu’un simple dallage et suffisamment ferraillée pour résister au tassement différentiel. Le radier constitue à la fois les fondations et le dallage. Si ce type de fondation est prévu, il est nécessaire de réaliser des sondages au pénétromètre dynamique à minima.
Un micropieu est une fondation profonde constitué d’un tube de béton généralement ferraillé à l’intérieur, lui conférant une résistance suffisante au cisaillement, au poinçonnement, au basculement, à la traction et à la compression. Elle est généralement ancrée dans les horizons géologiques anciens tel qu’un socle rocheux et permet de traverser tous les sols mous surmontant ce socle. Si ce type de fondation est prévu, il est nécessaire de réaliser des sondages destructifs et pressiométriques.
Un radier est une fondation spéciale constituée d’une substitution du terrain en place par des matériaux présentant des qualités mécaniques élevées surmontés d’une dalle d’une épaisseur plus importante qu’un simple dallage et suffisamment ferraillée pour résister au tassement différentiel. Le radier constitue à la fois les fondations et le dallage. Si ce type de fondation est prévu, il est nécessaire de réaliser des sondages au pénétromètre dynamique à minima.
Une semelle filante est une fondation superficielle (ancrée généralement à moins de 2m de profondeur). Elle consiste en une tranchée remplie de béton et ferraillée. La largeur de la fondation dépend toutefois de la qualité mécanique des terrains. Plus les caractéristiques mécaniques du terrain sont faibles, plus la semelle sera large. Si ce type de fondation est prévu, il est nécessaire de réaliser des sondages au pénétromètre dynamique à minima.
Un puits est une fondation semi-profonde réalisée entre 2 et 4 mètres de profondeur et est constitué d’un massif béton comportant un ferraillage adapté. Si ce type de fondation est prévu, il est nécessaire de réaliser des sondages au pénétromètre dynamique à minima.
Une semelle filante est une fondation superficielle (ancrée généralement à moins de 2m de profondeur). Elle consiste en une tranchée remplie de béton et ferraillée. La largeur de la fondation dépend toutefois de la qualité mécanique des terrains. Plus les caractéristiques mécaniques du terrain sont faibles, plus la semelle sera large. Si ce type de fondation est prévu, il est nécessaire de réaliser des sondages au pénétromètre dynamique à minima.
Il est nécessaire de réaliser une mission de diagnostic géotechnique type G5, afin d’évaluer la cause des fissures, comprendre leurs origines, proposer des adaptations pour réparer les désordres en cours.
Questions générales C’est un plan de prévention des risques contre les inondations. Il définit les zones à risques d’inondation, les débits de fuite et les périodes de retour des pluies à prendre en considération pour le traitement des eaux pluviales. Une étude de gestion des eaux pluviales permet de définir le volume d’eaux pluviales issues de l’imperméabilisation partielle ou totale d’un site à stocker via un ouvrage de rétention ou d’infiltration sur la parcelle tout en respectant la réglementation locale en vigueur. Oui car même si votre terrain n’est pas inondable, le volume d’eau pluviale à stocker et calculé au cours de l’étude sera redistribué au réseau ou au terrain avec un débit de fuite limité, évitant ainsi les inondations en aval et donc des zones rouges ou bleues du PPRI déjà fortement impacté par l’urbanisation. C’est une assurance qui permet de couvrir les sinistres liés à la construction. Certains assureurs exigent une étude de sol pour couvrir les risques liés à la géologie. Questions administratives Oui si dans le contrat elle a été préalablement demandée ou si le risque n’est pas couvert pas le contrat. Non, car la topographie peut être différente et il peut y avoir des variations géologiques importantes d’un terrain à l’autre (faille, présence d’une nappe, d’une source, de remblais, de galeries minières, de karsts, changement de formation géologique, etc.). La nature et la qualité même des matériaux en place sur votre projet peuvent varier aussi bien d’un sondage à l’autre que d’un terrain à l’autre. De plus, les projets eux-mêmes sont différents (sous-sol, R+1) et les dispositions constructives liés au projet et donc à la géologie seront différentes. Questions techniques Plusieurs causes peuvent être à l’origine de ces mouvements de terrains : + Ces mouvements peuvent être liés à des argiles gonflantes. + Ces mouvements peuvent être liés à des loupes de glissement en formation. + Ces mouvements peuvent être liés à un fontis, karst, galerie, etc. + Ces mouvements peuvent être liés à un tassement des terrains. Liste non exhaustive ; pour comprendre la cause du mouvement de votre terrain, une étude de sol est nécessaire.
Le nombre d’équivalent-habitant correspond au nombre de pièces principales de votre habitation.
Un débit de fuite correspond au volume d’eau évacué par seconde dans un réseau communal ou infiltré dans un terrain à la sortie d’un ouvrage de stockage d’eaux pluviales.